Maigret et le tueur

Un jeune homme est poignardé dans le quartier de Maigret, et le médecin Pardon, chez qui ils dînent est convoqué.  Il a un magnétophone, parce qu’il aime se promener et enregistrer des gens et des conversations. Juste avant sa mort, il a enregistré une conversation à un bar, où des voleur planifiaient leur prochain coup. Les voleurs sont pris, mais ce ne sont pas les tueurs.

Après un échange de lettre et d’annonces, le tueur se présente chez Maigret. Il s’agit d’un passant alléatoire, tourmenté par un  crime dans sa jeunesse, et qui aurait tué au hasard.

Maigret et le marchand de vin

Un marchand de vin est tué en sortant d’une maison de passe. Il s’agit d’un homme riche, qui a des liaisons avec beaucoup de femmes, entre autres, son secrétaire. Il y a beaucoup de suspects, fournis par la femme du marchand.

Dartmouth Symphony Orchestra

Symphony Publicity photoI quite enjoyed the Dartmouth Symphony on Saturday night. And I love the photo (at left) that they used to publicize the show.

In general this was a high caliber performance, and I feel lucky to have it so accessible. Students are in front in the orchestra, but there are a fair number of other professionals involved. For example, there were 3 students violists listed, but 8 playing, 4 students cellists with 8 playing, 1 student bassist but 3 playing. And I bet that these students aren’t music majors, but are all doing other stuff, and still finding time to practice 2 or 3 hours a day.

The first piece was a short and sweet piece for strings only by Tchaikovsky. It made a nice introduction to the concert.

The second item was a Cello Concerto by Shostakovich. The soloist was Bonnie Thron, who I had heard was a Hanover native, although this wasn’t in the program.  She was a tall and striking woman, playing on a small platform facing the audience, providing a very good view of her playing. I particularly liked the first part of the 2nd movement, which was very lush.  This was followed by a long solo cello cadenza. I am sure it was played well, and certainly it was interesting to watch her expressive technique, but the music really didn’t appeal to me.

After intermission, it was time for Beethoven’s Fifth Symphony. It’s strange but I really have not heard this played very often in concert. Perhaps there is a fear that it is too much of a cliche or something, but it really is such a great piece of music. The dynamic contrast, starting right off, going from very loud to very soft, is something that is really spectacular when heard live. Also, the tempo was quite fast – faster than in the recordings I have.

This piece drew an ovation from the audience, as might be expected. The encore piece was a short Trepak from the Nutcracker Suite – lively and fun.

Program Notes

l’Heure d’été

l'heure d'étéLe film commence avec des enfants qui courent dans un jardin – une chasse au trésor. Et il se termine dans le même style.

Il s’agit d’une fête – une mère vieillissante avec ses trois enfants et leurs enfants – autour d’une table dans un jardin. Elle est un peu amère. Elle aime la visite mais elle la trouve fatigante aussi. Elle essaie de parler de sa mort à Frédéric, son fils ainé. Et je crois que beacoup d’entre nous d’un certain âge peuvent reconnaître ce moment, quand il faut commencer à faire face à la fin de nos parents. Un peu plus tard, j’ai appris que Frédéric a le même âge que moi.

Mais il s’agit d’un film sur la succession, le partage des biens. Et tous ceux qui l’ont vécu reconnaîtront le mélange de regret, de cupidité, de sentiment, et de jalousie mais ce ne sont pas des discussions violentes.  Ce sont des discussions comme nous avons vu, délicates, avec beaucoup qui n’est pas exprimé.

Le film suit une tradition française du cinéma: pas d’action, pas d’histoire linéaire, mais ce sont des incidents, des tranches de vie, et quelques blagues aussi (comme la vase donnée en cadeau).

On reconnaît Juliette Binoche comme Adrienne, mais le film concerne surtout Frédéric (Charles Berling). C’est lui qui a le plus d’angoisse, avec des souvenirs d’enfance, et il souhaite que ses enfants auront les mêmes souvenirs. Mais sa mère n’a pas voulu que ce soit un tombeau, et elle savait que cela devait être vendu.

C’est un film qui fait réfléchir, et lent comme je les adore.