Maigret et le tueur

Un jeune homme est poignardé dans le quartier de Maigret, et le médecin Pardon, chez qui ils dînent est convoqué.  Il a un magnétophone, parce qu’il aime se promener et enregistrer des gens et des conversations. Juste avant sa mort, il a enregistré une conversation à un bar, où des voleur planifiaient leur prochain coup. Les voleurs sont pris, mais ce ne sont pas les tueurs.

Après un échange de lettre et d’annonces, le tueur se présente chez Maigret. Il s’agit d’un passant alléatoire, tourmenté par un  crime dans sa jeunesse, et qui aurait tué au hasard.

Maigret et le marchand de vin

Un marchand de vin est tué en sortant d’une maison de passe. Il s’agit d’un homme riche, qui a des liaisons avec beaucoup de femmes, entre autres, son secrétaire. Il y a beaucoup de suspects, fournis par la femme du marchand.

Maigret et le client du samedi

Georges Simenon, 1962

Un client qui attend tous les samedis et qui traite Maigret comme une sorte de therapeute.

Habitant dans sa propre maison avec sa femme et l’amant de sa femme (et son employé). Prévoyant de les tuer, il est tué lui-même après avoir vendu son commerce à l’employé, mais on retrouve le corps éventuellement

La porte

Georges Simenon, 1961

Une histoire qui me rappelle le 11e de façon très juste.  Mais une histoire étrange, un peu sordide comme tout Simenon, d’un homme amputé des deux mains, et munis de crochets.

Mais on ressent la vie de couple à Paris dans un appartement et un quartier typique.  Avec le marché, le sens du batiment et des rues.